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mardi 25 décembre 2012
par  P. Valas

Jacques Lacan, de James Joyce comme symptôme

Version corrigée. La première version a été publiée dans le numéro 28 de la revue Le Croquant en novembre 2000.
Henri Brevière.
La Conférence « De James Joyce comme symptôme » fut prononcée le 24 janvier 1976 au Centre Universitaire Méditerranéen de Nice. Transcription, à partir d’un enregistrement, par Henri Brevière avec l’aide de Joëlle Labruyère pour le découpage et la ponctuation.

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mardi 25 décembre 2012 à 14h23 - par  Claude Lecoq

Pour ce cadeau de Noèl, inédit de Lacan, grand merci…Evidemment, j’ai toujours cet étonnement, que son ouvrage remis à l’œuvre, conférence après conférence, ne soit jamais, pour moi redîte. C’est, je pense, le sourcement du « dire d’un analyste » qui cause le mouvement d’une découverte heureuse du lecteur. Pour prendre un exemple, entre autres, dans ce texte, concernant le langage qui nous suspend à l’analyse, cette « décomposition » qu’il situe en lalangue et le « langué ». Grattant par ce signifiant dans cette phrase, ce qu’on appellerait, il me semble, l’infime tentative d’écriture d’un impossible à dire du réel. Infime au regard de l’impossible en jeu, donc toujours ratage, si bienvenu, mais qui « d’ailleurs » m’a poussé à cette petite écriture.