A la suite de ce débat, Jacques Leibowitch me faisait parvenir cette lettre pour avouer qu’il n’y était pas allé avec le dos de la cuillère contre la psychanalyse. Il regrettait ses propos excessifs et me louait pour ma grande sagesse et ma courtoisie.
Dont acte donc, sans que pour autant je sois dupe de ses flatteries.