Le temps du parlêtre dans le temps de son histoire

mercredi 17 mars 2010
par  P. Valas

patrick
 

Le temps du parlêtre dans le temps de son histoire :

Du bien nommé Patrick Valas.

De la Dissolution de l’École Freudienne de Paris (1980), à l’École de la Cause Freudienne (1982- 1991), puis à l’École de Psychanalyse Sigmund Freud (1994- 2003), puis à l’École de Psychanalyse des Forums du Champ Lacanien (2005- jusqu’à La Fin du Voyage Ici-bas).
Je l’espère, parce que j’en ai ma claque de la connerie collective des psychanalystes.

J’en ai ma claque de la connerie collective des psychanalystes.

On ne peut comprendre l’histoire impossible à démontrer dans sa matérialité historique , du mouvement psychanalytique, et encore d’un tout petit bout de réel de celui-ci, qu’en réintroduisant dans le temps de l’exactitude horlogère, le temps du sujet, dans la motérialité des discours dans lesquels il est pris.

De ce point de vue comme le disait Lacan, la vie n’est pas tragique, elle est comique.

Donc à lire sur lesite, une succession de textes dits point- de-capiton. (www.valas.fr)

Leur chronologie n’est que de pur hasard, lequel n’est pas sans loi, dit Lacan, mais c’est une loi sans intention :

Acier, l’ouvert !

Qui a peur de Jam ?

Les papillons du fils de Lao-Tsu, Claude Léger.

Louis Soler, Le Style AMP.

Préliminaires à tout fonctionnement d’une École de psychanalyse. Colette Soler, Sidi Askofaré.

École est un des Nom-du Père de la Psychanalyse. Elle représente des parlêtres, pour un autre signifiant La Psychanalyse, qui ne représente pas le sujet mais ce qui se produit de l’opèration analytique :

Soit Le Psychanalyste qui n’ek-siste pas, mais l’objet a, dont chaque analyste est le tenant-lieu comme semblant.

J’ai toujours voulu faire partie d’une École, pour ne pas devenir fou à cause d’une pratique qui est de structure celle d’un seul pour chacun. La psychanalyse est intransmissible disait Lacan. Il avait raison, il faut la réinventer au jour le jour de la pratique.

L’École est moins le lieu d’un enseignement toujours paradoxal en la matière, que celui d’un style de vie.

Discipline et camaraderie sont ma force. Me concernant, il en a toujours été ainsi.

Courage et loyauté j’y aspire.

Je suis un exilé,toujours étranger à lui-même.

En quelque sorte, je ne suis ni un bouffon, ni un saint, encore moins un employé.

Peut-être un esclave moderne.

Je me définirai plutôt comme un légionnaire.

Je ne calcule pas, ni ne juge.

Je me perd souvent, en essayant de trouver la bonne direction.

Je n’ai jamais abandonné ceux que je considère comme les compagnons du grand voyage. Ils sont innombrables.

Les aléas de la vie nous ont peut-être séparés, mais pas les signifiants qui font, pour moi, de chacun d’eux, des êtres chers et irremplaçables.