Patrick Valas, je fais des séminaires plus ou moins heureux
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Depuis 1983 je fais des « séminaires » plus ou moins heureux.
Ce qui me guide ce sont les « lois de l’hospitalité ».
Quand on me reçoit je ne sais jamais à l’avance si ce sera pour ma fortune ou si c’est un coupe-gorge.
Le coupe-gorge c’est…
Fortune c’est quoi ?
Je suis très affecté quand au moindre tangage :
« On » s’en va.
Tout un chacun qui vient me comble de joie…
Je ne garantie personne, ni aucun lieu.
Je ne cautionne personne n’étant pas une banque.
Je m’aperçois qu’à chaque séance je suis le seul à payer ma place et à fournir Le matos :
12 petites chaises en cuir rouge, tout l’appareillage audio-video-chevalet, etc…
Je m’habille joliment parce que la beauté est la dernière barrière avant la mort.
Je veux faire de ma vie Bel-Geste.
On peut me trahir sans risque, soit en me virant avec fracas de l’auberge, soit en envahissant mon espace par des propos obscènes.
Récemment un crétin a manqué de me tuer « par inadvertance ».
Doux Jesus !
Je me fous de qui vient ou revient et… ça revient et ça repart…la galère (sic Claude Francois).
Je ne parle que du « fleuve de feu » de Freud, qui est couplé avec Lacan.
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