Monsieur Valas,

« Le temps logique et l’assertion de certitude anticipée », que vous faites intervenir dans vos propos du 14/X/2012, ne nécessiterait-il pas un complément plus rigoureux de son mouvement, bon gré mal gré sa difficulté, si on veut, comme vous le dites, qu’il s’y montre être « clef pour la compréhension de la pratique spécifique de J. Lacan. »
Ne pourriez-vous pas envisager d’en faire apparaître toute la portée dans l’une de vos prochaines interventions ?

J.P.M