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dimanche 23 août 2015
par  P. Valas

Le crépuscule d’une idole : Commentaires raisonnés. Patrick Valas.

En finir avec Freud : la jouissance de l’idiot !

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vendredi 20 avril 2012 à 23h12 - par  P. Valas

Médiocre Michel Onfray. Par Sarah Fresnais

J’ai lu« Le crépuscule d’une idole, l’affabulation freudienne » et suis très surprise de quelques commentaires postés dans la rubrique commentaires raisonnés. J’aimerais réagir et exprimer mon point de vue sur cet ouvrage certes plus que critique mais néanmoins intéressant ainsi que sur des commentaires qui me semblent déconcertants.
Commençons peut-être par la définition du mot « médiocre » : qui manque de grandeur… Il m’est évident que ce qualificatif ne correspond absolument pas à cet auteur qui bien au contraire manifeste une aspiration démesurée pour des œuvres grandes ; l’université populaire de Caen permet l’accès de TOUS à un savoir… Il est regrettable de lire qu’un « érotisme solaire » est à blâmer quand nous partons (de Freud) du point de vue que nous sommes tous des névrosés… C’est selon l’entrée…
Il n’est pas plus médiocre, (mais provocateur, là dessus nous serons j’espère d’accord) qu’« insignifiant »… A quoi bon dans ce cas là, prendre laborieusement le temps de définir de manière si laborieuse ce qu’est une situation d’énonciation : derrière « ce qui est dit » il y a l’énonciateur !! Certes, je ne dirais rien contre cela si ne ce n’est qu’il y a bien de l’inutilité linguistique à fausser une situation d’énonciation et « son message » sur de tels truismes tautologiques… Autant dire rien (ce qui est en quelque sorte le comble de la médiocrité ou de la grandeur d’aucuns, c’est toujours selon).
A-t-il vraiment tort ? Pourquoi ne pas l’entendre latéralement ? Fort heureusement je ne fus la soeur de Martha ? Ni sa fille d’ailleurs…
Vous me direz, Voltaire et Rousseau durent se donner quelques noms d’oiseaux… Cela n’empêcha pas le désastre de Lisbonne…
Sans compter qu’il n’existe que quelques vérités, celles d’humains ou d’individus (il ne faudrait pas glisser du génital au sexuel…)
Mais fort heureusement, il y a le sucre… Il serait dommage de le placerbas.
Cordialement (avec une petite pincée de sel)

— Envoi via le site Patrick Valas (http://www.valas.fr/) —