Le Docteur Patrick Landman coordonne le rapport du Groupe de contact des psychanalystes.

jeudi 6 décembre 2018
par  P. Valas

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Le Groupe de contact qui regroupe 13 associations de psychanalystes a élaboré un Rapport sur les avancées et les apports des psychanalystes français dans le champ de la Santé mentale, de la jeunesse et de la culture.

En pièce jointe un résumé de ce document destiné à une large diffusion au delà même des autorités deTutelles et des associations de la Santé mentale, auprès de l’Université, des médias et des réseaux sociaux.

La figure traditionnelle du psychanalyste est celle d’un solitaire. Enfermé dans son bureau, assis dans son fauteuil, il reste silencieux à côté d’un patient allongé sur son divan.

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Françoise Dolto

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Page 1 sur 71 PRESENTATION DU RAPPORT1 La figure traditionnelle du psychanalyste est celle d’un solitaire. Enfermé dans son bureau, assis dans son fauteuil, il reste silencieux à côté d’un patient allongé sur son divan.
Cette vision simpliste qui autorise toutes les caricatures a finalement lassé les intéressés qui ont décidé de réagir.
Dans un rapport établi collectivement, ils présentent un bilan précis et documenté de l’ensemble de leurs activités.
Loin de se limiter au dispositif divan/fauteuil, ces activités concernent la plupart des secteurs de la société.
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FrançoisTosquelles

Le rapport regroupe dans 4 chapitres distincts l’essentiel de leurs domaines d’interventions : l’activité scientifique ; la pratique institutionnelle ; les soins portés à l’enfance et à la jeunesse ; la culture.

Le rapport regroupe dans 4 chapitres distincts l’essentiel de leurs domaines d’interventions : l’activité scientifique ; la pratique institutionnelle ; les soins portés à l’enfance et à la jeunesse ; la culture.
Leur rôle et leurs responsabilités dans l’édification de ces différents secteurs ont souvent été décisifs.
Aussi, pour chacun des secteurs qui relèvent de leur champ de compétence, les psychanalystes ont-ils formulé à l’occasion de ce bilan un certain nombre de préconisations.
Désormais identifiés à une force de proposition reconnue, ils contribuent au développement de ces 4 domaines.
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Patrick Landman
D’abord, sur le plan scientifique.
Dès l’origine, la psychanalyse a pris part aux débats portant sur l’élucidation scientifique de la souffrance psychique et sa prise en charge thérapeutique.
Dès le début du 20e siècle, ses prises de positions ont par exemple fait évoluer les réponses apportées jusque là aux souffrances hystériques, permettant déjà de mettre au point de nouvelles pratiques.
Dans le débat qui se mène actuellement en santé mentale, le rapport permet de mieux identifier, d’un côté les éléments issus de la volonté de psychanalystes pour faire évoluer les pratiques, et de l’autre, différentes controverses partisanes, souvent agressives, peu pertinentes du point de vue scientifique.
Le rapport présente également des éléments concrets de compréhension qui permettent d’éclairer les modes de travail psychanalytiques : la formation des praticiens, leur méthode de travail, leurs outils, leurs collaborations, leur insertion, leurs recherches.

Autrement dit, ce rapport permet d’établir la comparaison avec les autres approches existantes dans le champ de la santé mentale.

Il est ainsi en mesure d’éclairer les prises de décisions en fondant celle-ci sur des données claires et vérifiables, provenant d’études indiscutables effectuées en dépit de difficultés méthodologiques et éthiques considérables.

Ces études démontrent l’efficacité réelle des prises en charge psychanalytiques de nombreuses pathologies mentales.

Sur ce plan, toutes les références mentionnées dans le rapport sont disponibles et accessibles à chacun.
Quant aux échanges avec les disciplines qui, telles les neurosciences, s’engagent dans la prise en charge de la souffrance psychique par d’autres voies, ils sont mentionnés et présentés ici avec toute la sérénité et la rigueur nécessaires.

Le rapport fait état de disciplines comme la psychologie, les sciences de l’éducation, la médecine, le Droit ou la Sociologie qui, en collaboration avec 1 Rapport sur les apports et les avancées des psychanalystes français dans le champ de la santé Page 1 sur 7.

Page 2 sur 72 des psychanalystes, ont entrepris des programmes de recherche pour mieux accompagner les personnes en difficulté.
Ensuite, sur le plan des pratiques institutionnelles et les soins aux enfants.

Depuis longtemps, les psychanalystes ont apporté la preuve de leur implication et de leur efficacité dans ce domaine.

Ils se sont intégrés aux institutions psychiatriques dès la première moitié du 20e siècle, leur inspirant à la fois l’invention de la psychothérapie institutionnelle et le « désaliénisme », moteur de la politique de secteur décidée après guerre.

En effet, la Seconde Guerre mondiale a eu de terribles conséquences sur la population asilaire, avec la mort de 45 000 malades psychiatriques2.

Les hôpitaux psychiatriques étaient alors considérés comme des lieux de chronicisation, de traumatismes et de déshumanisation.

Dans ce contexte et jusqu’au début des années 1950, les inventeurs de la psychothérapie institutionnelle, pour la plupart psychanalystes, ont voulu innover dans l’espoir de transformer les hôpitaux psychiatriques en lieux d’accueil et de soins psychiques véritables.

A cette période, le général de Gaulle place un psychanalyste à la tête de l’institution qu’il vient de créer : le Secrétariat général du Haut Commissariat de la famille et de la population.

Le premier Centre psychopédagogique mis en place par cette institution est le Centre Claude Bernard.

Ce sont des psychanalystes qui composent l’équipe de ce centre pilote : Didier Anzieu, Juliette Favez- Boutonnier, Françoise Dolto, Maud Mannoni.
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Maud Mannoni

Ces deux dernières suivront par la suite la voie ouverte par Jacques Lacan.
Les consultations psychanalytiques s’inscrivent naturellement dans les dispositifs d’accueil destinés aux enfants peu à peu mis en place : CMPP, IME (Instituts médico- éducatifs), CAMPS (Centres d’action médico-sociale précoce).

Aujourd’hui, l’Institut Claparède, créé en 1949 par un psychanalyste de la SPP3, poursuit toujours sa mission de « sauvegarde de l’enfance et de l’adolescence »4.

Quant aux hôpitaux de jour pour enfants, ils visent le même triple objectif :

1/ retirer l’enfant du service de psychiatrie infanto-juvénile ;
2/ maintenir les liens avec son milieu (famille, école) ;
3/ parvenir à donner un sens aux symptômes qui perturbent ces liens.

L’esprit de ces structures se prolonge actuellement avec les Maisons d’adolescents, comme La maison de Solenn à Paris, dirigée par la Professeure Marie-Rose Moro, ou les Centres de crise. Depuis 40 ans, des structures semblables aux « Maisons vertes » inventées par Françoise Dolto en France sont mises en place en Europe, au Canada, en Amérique Latine, en Israël, en Russie, etc.
L’utilité de ces différents dispositifs de prévention en santé mentale est régulièrement évaluée. Les actes du colloque de décembre 2017, intitulé « Prévention, vous avez dit prévention ? »
ont été publiés récemment5. 2 Cf.
Le Monde, 8 mai 2018, p. 12. Isabelle von Bueltzingsloewen (2007), L’Hécatombe des fous, Aubier, Paris 3 Société psychanalytique de Paris 4 http://institut-claparede.fr/presen… 5 http://www.editions-harmattan.fr/in… Page 2 sur 7

Page 3 sur 73 La question de l’autisme Depuis le début des années 2000, la psychanalyse fait l’objet d’attaques virulentes, à propos de la prise en charge de l’autisme, jugée inefficace pour les enfants et culpabilisatrice pour les parents.

Les reproches adressés aux psychanalystes à propos de l’autisme sont à la mesure du désarroi et des souffrances éprouvées par les familles pour leurs espoirs déçus.

Mais aujourd’hui, il faut rappeler que l’ensemble des conceptions sur l’autisme se sont transformées6.
Par exemple, il est désormais établi qu’il existe plusieurs formes cliniques d’autismes, appelant des réponses différentes.
Au fil des connaissances acquises, les psychanalystes ont évolué eux aussi dans ce domaine. Actuellement ils contribuent à la mise en œuvre de recherches de haut niveau, comme celle menée sur la grille d’évaluation PREAUT à propos des risques d’évolution autistique chez l’enfant de moins de 12 mois7.
Prescriptions et surprescriptions de psychotropes aux enfants En accord avec différentes recommandations de l’OMS et de l’ANSM, les psychanalystes mettent en question la prescription de psychotropes aux enfants.
Indépendamment de son aspect économique et des dépenses qu’elle occasionne8, cette pratique présente de graves inconvénients.

Tout d’abord, comme pour la plupart des substances psychoactives, elles s’accompagnent d’usages détournés et de trafics fréquents.
Ensuite, il est établi qu’au sujet des effets indésirables à long terme et des rapports bénéfices/risques liés à ces prescriptions, les données scientifiques sont insuffisantes9.
Enfin, les psychanalystes font observer que la fonction de ces substances n’est pas de rectifier un dysfonctionnement ou déficit biologique, comme l’insuline le fait pour le diabète.

Stricto sensu, leur fonction est celle des drogues, qui modifient le fonctionnement cérébral et psychique, avec les possibles phénomènes de dépendance.

Pour ces raisons, ces prescriptions ne 6 Cf. Chap. D - Psychanalyse et Culture, « La réalité psychique, condition de la souffrance psychique » 7 Olliac B, Crespin G, Laznik M-C, Cherif Idrissi, El Ganouni O, Sarradet J-L, Bauby C, et al. (2017) Infant and dyadic assessment in early community-based screening for autism spectrum disorder with the PREAUT grid. PLoS ONE 12(12). http://journals.plos.org/plosone/ar…
8 En juin 2018, la CNAM (Caisse nationale d’assurance maladie) publie un rapport intitulé « Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses  ».
Ce rapport souligne le « poids important de la santé mentale » qui représente 14,5 % des dépenses totales de l’assurance-maladie.
En 2016, ces dépenses se sont élevées à 19,8 milliards d’euros pour 7 millions de personnes (plus d’un Français sur 10), sans distinction d’âge, dont 2 millions souffrent de troubles névrotiques ou de l’humeur ou de troubles psychotiques.
5 millions de personnes supplémentaires suivent un traitement chronique par psychotropes (antidépresseurs/ médicaments régulateurs de l’humeur ou anxiolytiques), pour un coût de 5,3 milliards € (p. 12-13). https://www.ameli.fr/l-assurance-ma… periodiques/rapports-charges-produits-de-l-assurance-maladie/rapports-charges-et-produits- pour-2018-et-2019/rapport-charges-et-produits-pour-l-annee-2019.php 9 Cipriani & al. (2016), Comparative efficacy and tolerability of antidepressants for major depressive disorder in children and adolescents : a network meta-analysis, The Lancet, Volume 388, No. 10047, pp. 881–890, 27 August 2016 Page 3 sur 7
Page 4 sur 74 devraient être réservées qu’à des indications très précises, après que toutes les mesures thérapeutiques alternatives, éducatives, pédagogiques et sociales aient été mises en œuvre.

Enfin, sur le plan culturel.

Pour son fondateur, la psychanalyse a partie liée avec la culture, une idée qui accompagnera chaque étape de la construction de cette discipline.

Enfin, sur le plan culturel. Pour son fondateur, la psychanalyse a partie liée avec la culture, une idée qui accompagnera chaque étape de la construction de cette discipline.
Si Freud étudie l’esprit humain et ce qu’il produit d’asservissant, il se passionne aussi pour ce qu’il crée de plus émancipateur.

Selon lui, l’inventivité des pensées inconscientes s’observe non seulement dans les rêves mais aussi dans les délires, dans les œuvres d’art ou dans l’organisation sociale des peuples primitifs. La psychanalyse considère que pour l’humanité, l’édification de la culture se fait au prix du renoncement à l’animalité.

Ce faisant, elle la rend d’autant plus attentive au risque qui la guette : la régression.

L’ambition de Freud était de rester à l’écoute des situations sociales et politiques de son époque.

Avec la Première Guerre mondiale, il pressent que tous les raffinements et les idéaux de la civilisation peuvent être réduits à rien ou presque.
Comme Paul Valéry, il constate que désormais, les civilisations se savent mortelles et il écrit en 1929 : « Le développement de la culture doit être qualifié sans détour de combat vital de l’espèce humaine »10.

Et en 1932, la SDN propose à Albert Einstein et Sigmund Freud d’échanger une correspondance à propos de la situation internationale et des risques d’affrontement qu’elle contient.

Les deux hommes qui s’estiment en acceptent le principe, donnant lieu à la publication d’un livre en 1933, régulièrement réédité depuis : «  Pourquoi la guerre ? »11.
Au cours du 20e siècle dernier, la psychanalyse marquera de son empreinte des pans importants de la culture.
Sur ce plan, il s’avère que, non seulement l’hypothèse de l’inconscient freudien n’appauvrit pas l’inspiration littéraire mais semble au contraire en avoir décuplé la force. Le rapport en présente les effets dans la littérature, quelle qu’en soit la forme, essais, récits de cure psychanalytique, romans, etc., ou dans le monde du cinéma que la psychanalyse ne cesse d’inspirer depuis les années 1940 12 jusqu’à aujourd’hui13.

Par ailleurs, on ne compte plus les auteurs qui, dans tous les secteurs artistiques, ont publiquement décrit l’impact déterminant de leur démarche psychanalytique sur leur inspiration.

Dans ce siècle comme au début du suivant, la notion d’inconscient a fait de la psychanalyse une référence culturelle majeure, relayée par de nombreux médias.

Parfois dénoncée à tort comme hégémonique, elle connaît actuellement un repli au profit de nouvelles disciplines, comme les sciences cognitives ou les neurosciences.

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Olivier Douville

Cette situation nouvelle, anticipée notamment par Jacques Lacan ou André Green, incite les psychanalystes à renouveler leur approche 10 Freud S. (1930), Malaise dans la culture, PUF, coll. Quadrige, 1998 11 Albert Einstein, Sigmund Freud (1933), Pourquoi la guerre ?, Payot Rivages, 2005 12 Alfred Hitchcock, John Huston, Samuel Fuller,, etc. 13 Benoit Jacquot, David Cronenberg, Arnaud Desplechin, Fanny Ardant, Manele Labidi, etc. Page 4 sur 7

Page 5 sur 75 des phénomènes sociaux et culturels contemporains.
Elle les invite, sur un mode différent, à poursuivre leur participation au travail de civilisation. Aspects culturels internationaux.

C’est par l’intermédiaire de la culture et de la littérature que la psychanalyse s’est implantée dans de nombreux pays.

En Argentine par exemple, un morceau de tango porte le nom de « villa Freud »14.
En Asie, dans des pays comme la Chine ou le Japon que l’on aurait pu croire réfractaires pour des raisons culturelles, la transmission récente de la psychanalyse exige de facto des modifications et des aménagements du cadre à l’intérieur duquel elle se pratique.

En conclusion, le crédit accordé à la psychanalyse dans le vaste ensemble de la Culture reste fluctuant.

La période actuelle représente un tournant qui impose aux psychanalystes de mieux faire connaître la portée de « l’inédit freudien ».
Sans négliger les avancées des sciences cognitives, des neurosciences ou de l’intelligence artificielle, l’apport freudien joue son rôle dans la culture, inscrit depuis ses origines dans le travail de civilisation.

Face à l’explosion des technologies du numérique et de leurs applications, face aux nouveaux médias et à l’émergence de la post-vérité, les psychanalystes ont une place à occuper.

En particulier, ils font objection aux dérives scientistes et au naturalisme quand ceux-ci deviennent par trop réductionnistes, populistes ou autoritaires.
Maintenir la place de la psychanalyse dans la culture suppose donc une vigilance renouvelée dans plusieurs domaines.
Confrontés aux découvertes étourdissantes sur le fonctionnement cérébral qui ont pour inconvénient d’en négliger un aspect décisif, les psychanalystes rappellent en effet que, si le cerveau est bien la condition nécessaire à la vie psychique, il n’est pas une condition suffisante.

Si le cerveau est bien la condition nécessaire à la vie psychique, il n’est pas une condition suffisante.

Gérard Pommier
En effet, la vie psychique n’advient et ne parvient à s’exprimer chez l’être humain qu’à une seule condition : l’interaction langagière avec autrui sous une forme ou sous une autre.

En théorie comme en pratique, la psychanalyse enseigne que le langage est l’une des composantes essentielles de la dimension symbolique sur laquelle repose le pacte social.
Or, le lien social et les techniques de gouvernance qui le sous-tendent en passent aussi par le langage et l’interlocution qu’il suppose.
Prétendre faire de l’inconscient freudien une croyance héritée du 19e siècle aujourd’hui dépassée par la science moderne15, revient à ignorer la contribution des psychanalystes à l’étude de phénomènes tout à fait contemporains tels que, l’homoparentalité16, les meurtres en série17, le retrait 14 http://www.villafreud.com/trailer 15 Liaudet J-C. (2002), La Psychanalyse, Le Cavalier Bleu, coll. Idées reçues : Santé et médecine, no 41 16 https://homoparent.hypotheses.org Ducousso-Lacaze A. & Scelle R. (2006), Dossier « Homoparentalités », Revue Dialogue, no 173. 17 Zagury D. (2008), L’énigme des tueurs en série, Plon Page 5 sur 7
Page 6 sur 76 social des jeunes (hikikomori)18 ou encore la radicalisation islamique19.

A tous points de vue, les psychanalystes ont inscrit une fois pour toutes leurs travaux cliniques, non seulement dans le cadre de la recherche scientifique universitaire et académique, mais aussi dans l’ensemble du paysage culturel français, 20,21. ______

Ce texte résume le document intitulé :
Rapport sur les avancées et les apports des psychanalystes français dans le champ de la Santé mentale, de la jeunesse et de la culture, disponible sur l’ensemble des sites web des Sociétés et Associations signataires.

Cette unanimité est une première dans l’histoire de la psychanalyse française.

COORDINATEURS DU RAPPORT Keller Pascal-Henri keller.pascal-henri chez wanadoo.fr Landman Patrick patrick.landman chez wanadoo.fr CONTRIBUTEURS DU RAPPORT Bantman Patrick, Bataillon Nathalie, Belamich Patrick, Bergès Bounes Marika, Carbunar Jean-Michel, Chaperot Christophe, Chemla Patrick, Croix Laurence, Dana Guy, Darmon Marc, David Marielle, Douville Olivier, Drapier Jean-Pierre, Fischman Georges, Forget Jean-Marie, Gailis Janis, Garcia-Fons Tristan, Godart Elsa, Lamrani Tissot Rhadija, Robert Levy, Markman Nora, Najman Thierry, Patris Michel, Pommier Gérard, Sciara Louis, Sédat Jacques, Tourres Landman Dominique. Marie-Daisy Selin

SOCIETES ET ASSOCIATIONS SIGNATAIRES DU RAPPORT.
Analyse Freudienne http://www.analysefreudienne.net/ Association Lacanienne Internationale* https://www.freud-lacan.com/ Association Psychanalytique de France https://associationpsychanalytiqued… Cercle freudien https://www.cerclefreudien.org/ 18 Tajan N. (2017), Génération Hikikomori, L’Harmattan, 383 p. 19 Benslama F. (2016), Un furieux désir de sacrifice. Le surmusulman, Seuil 20 Roudinesco E. (2017), Dictionnaire amoureux de la psychanalyse, Plon / Seuil 21 André J. (2018), L’inconscient est politiquement incorrect, Gallimard Page 6 sur 7
Page 7 sur 77 École de la Cause Freudienne*22 http://www.causefreudienne.net/ École de Psychanalyse des forums du Champ Lacanien https://www.champlacanien.net/ École de psychanalyse Sigmund Freud https://epsf.fr/ Espace Analytique http://espace-analytique.org/ FEDEPSY http://fedepsy.org/ Fédération des Ateliers de Psychanalyse http://www.federation-ateliers-psyc… Fédération Européenne de Psychanalyse https://www.epf-fep.eu/fre Psychanalyse actuelle http://www.psychanalyseactuelle.com/ Quatrième Groupe https://www.quatrieme-groupe.org/ Réseau pour la psychanalyse à l’Hôpital http://www.rphweb.fr/ Société Psychanalytique de Paris*23 https://www.spp.asso.fr/ Société de Psychanalyse Freudienne https://www.spf.asso.fr/ Société Psychanalytique de Recherche et de Formation http://sprf.asso.fr/sprfwp/ 22 23 * Reconnue d’utilité publique Page 7 sur 7

Présentation-Rapport.pdf
Ouvrir avec
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