Jacquesalainmiller, est le nom de l’Un générique d’une nébuleuse Psy gravitant autour de celui qui se nomme Jacques-Alain Miller, croyant qu’il est Jacques-Alain et qui a révélé au monde, dans une autobiographie exubérante de candeur, être en réalité Le Neveu de Lacan.
Il est donc en quelque sorte le Mazarine caché d’un de nos Pères dans la psychanalyse.
Je parle aussi de Jacques-Alain Miller, qui a tellement peur de son ombre qu’il a fini par s’identifier à un lampadaire.
Dans la psychanalyse on a les lumières qu’on peut, pour éclairer l’opinion éclairée.
Donc quand j’écris Jacquesalainmiller, cela concerne tous ceux de cette nébuleuse, sans la moindre exception, quoique puisse en dire Bourbaki, tous ceux qui se revendiquent de cette nébuleuse.
Ils ont consenti, du fait de leur lâcheté quasi-canine, même ceux que l’on appelle aujourd’hui les « jeunes », dans nos milieux, et dont la plus grande majorité ont déjà dépassé la trentaine.
Sans compter pour certains le nombre de TGV qui leur sont passés dessus.
Ils ont consenti, sans la moindre circonstance atténuante.
Comme leur Boss(sic Lacan), et sa tripatouillée de Caïds(sic Lacan)locaux, et internationaux, car ce sont des internationaux, ils ont peur, de leur ombre, de Jacques-Alain Miller, et comme lui, de l’amour, de leurs mères, du fisc, des femmes, de leurs collègues, de leur corps, de la mort, et surtout de faire aussi un accident cardio-vasculaire. Ce qui pour ce dernier est à la portée de tout le monde, et même des psychanalystes.
Avant-Propos.
Avec les frères Dalton, l’avantage est que l’on sait qui est le plus grand, qui est le plus petit, qui est le plus méchant, qui est le plus bête.
Il n’en est pas de même avec les frères Miller.
Pourquoi ?
Certes, on apprend par une confidence publique (ceci nest pas un ragot) de Gérard, qu’enfant son frère Alain (pas encore Jacques-) le persécutait, ce qui ne surprendra personne, puisque c’est le lot commun de tout puiné vis-à-vis de l’ainé dans toutes les familles du monde - et parfois vice-versa.
Quand l’Un se radine, l’autre rapplique aussitôt
C’est là un fait de structure, de sorte que l’on peut toujours dire que l’un des deux est l’oxymore de l’autre.
Pour être plus précis et en faire mathème on peut dire que l’un des Frères Miller est surnuméraire par rapport à l’autre (c’est-à-dire est de trop au regard de l’autre, sans que l’on puisse savoir duquel des deux il s’agit).
Pour les frères Dalton, il n’en est pas de même puisqu’il s’agit d’une structure fraternelle quadripartite - c’est-à-dire à proprement parler lacanienne authentiquement.
Cela veut dire qu’on ne peut pas les confondre.
Si on consulte Google, pour connaitre un peu la biographie des frères Miller —je m’y consacre, parce que Jam fait son cours cette année dans un théatre, avec pour programme « La vie de Jacques Lacan » - on y apprend des choses surprenantes :
- Que Lacan est vivant, réincarné en Jacques-Alain.
- Que Lacan, qui conduisait comme une pince (dixit Levi-Strauss), s’était viandé avec sa Mercédes décapotable dans un fossé. Éjecté il avait roulé en boule dans l’herbe, c’est dire !
- Qu’il donnait des coups de pied dans les portes des églises.
- Qu’il poussait des oooooooooooh ! inimitables (sic Jam), dans les restaurants chics, quand il estimait ne pas être servi assez vite.
- Qu’il faisait pleurer Jacques-Alain en lui lisant des poèmes - de Mallarmé, entre autres.
- Qu’il était « aux abois »(sic Jam), et qu’il doit tout à Jacques-Alain (lequel ne dit jamais ce qu’il lui doit.)
- Que JAM, sait mieux que tout le monde ce qu’il faut pour Sonécole, et même plus encore, quel est le désir de chacun dans Sonécole (sic).
- Que Jam, à l’occasion de l’incarcération arbitraire d’une psychanalyste a lancé une pétition échevelée pour s’y opposer. Il a signifié à D. Cohn-Bendit que c’était du pain-béni pour lui s’il intervenait. Comme il a sollicité de même les candidats socialistes de la présidentielle qui, selon lui, seraient en mal de publicité.
- Etc.
Si on consulte Google, surprise :
On apprend que Jacques-Alain est né à l’âge de 15 ans. L’année même de sa naissance en plus, il a interviewé Jean-Paul Sarte, en quoi il était un génie précoce, comme l’écrit Jean-Claude Milner, qui est un des bouts dubout-d’Oulm lacanien.
Deuxième surprise, pour Gérard itou, à cette différence près, c’est qu’il n’a pas interviewé Jean-Paule Sartre.
Si l’on tient compte de ces éléments, et de leur différence d’âge, on peut comprendre la raison pour laquelle quand on a un Miller on a les deux en même temps, mais pour le prix des quatre Dalton.
Ils confondent tout deux le Surmoi avec l’inconscient, et ils vous le rappellent à l’occasion, en vous l’infligeant comme une punition. Ce sont des spécialistes reconnus de la psychanalyse sauvage. Celle qu’ils font pour les médias, à propos d’hommes politiques qui ne leur ont rien demandé. Freud avait ça en horreur et le condamnait sans équivoque.
Tout est bon pour moi, telle la maxime préférée de JAM. Il n’y a en effet pour lui pas de mauvaise publicité (sic).
Quand son grand copain Philippe Sollers prononce ce verdict : Lacan est un piéton de la pensée, JAM approuve en jubilant.
En l’an 2001, année du centenaire de la naissance de Jacques Lacan, que nous aimons tant, comme nous nous efforçons d’être digne de son enseignement, sans équivalent depuis Freud, donc en 2001 sous la pression incessante de Jacques-Alain Miller, le Conseil de l’École de la Cause Freudienne, soit son instance dirigeante la plus haute, décidait de demander à Monsieur Abdoulaye Yérodia, Vice-Président de La République Démocratique du Congo, de consentir à accepter de lui faire l’honneur d’accepter l’honneur, de devenir Membre d’Honneur de l’ École de la Cause Freudienne, comme Jacques-Alain Miller l’en a supplié, pour ne pas perdre la face.
École, fondée, entre autres, par Jacques-Alain Miller, en 1981 et qui fut non seulement la seule école des « dits », par Jacques -Alain Miller, Élèves de Lacan (les vrais de vrai -sic) , mais en plus-de-jouir adoptée par Lacan même, (comme le prouve un écrit, incontesté, de Lacan).
En février 1982, soit 6 mois après la mort de Jacques Lacan, l’École comme elle se nomme elle-même, recevait ses statuts, ses membres et ses textes fondateurs.
En 2001, cette École exemplaire, aussi seule qu’elle l’a toujours été au monde, devenue depuis une Ruche(sic), comme elle le revendique haut et fort, a sauvé toute seule La Psychanalyse, qui sans elle, aurait été assassinée(sic).
Ensuite elle a obtenu, l’assistanat(dixit) des autorités politiques, les plus hautes de La République Française, pour être reconnue « d’Utilité Publique », avec en plus-de-jouir, de surcroit, le statut d’ONG, par l’ONU.
Il est probable qu’elle doit en partie ces honneurs mérités, à l’influence internationale considérable, d’Abdoulaye Yérodia, Vice-Président de La République Démocratique du Congo.
Cet homme d’une probité morale sans faille, élève préféré de Laurent-Désiré Kabila, poursuit l’enseignement de ce dernier, en se vouant corps et âme, et sans compter, à sa patrie maternelle.
L’homme en question est cependant assez incontrôlable. D’autant plus qu’il a déclaré, en faisant l’oraison funèbre de son maitre (le très regrettable Laurent-Désiré Kabila,dit Mzee, liquidé à la Kalchanikoff dans son propre palais en 2001, par un de ses dévoués garde du corps), qu’il souffrait d’une blessure « narcissique profonde »(sic). On sait que cela peut rendre encore plus féroce.
On peut donc considérer que Jacques-Alain Miller place son École sous la protection des Forces Armées Congolaises.
Les nouvelles du front.
MONDEXPRESSO + 13 DECRYPTAGE
Par SABINE CESSOU.
Libération du 22 mars 2010.
L’armée congolaise privée de défilé en Belgique.
L’invitation lancée à Charles Mwando Nsimba, ministre de la Défense de la république démocratique du Congo (RDC), pour qu’il assiste avec une délégation au défilé militaire du 21 juillet, jour de la fête nationale belge, a provoqué un tollé à Bruxelles.
L’opposition a vivement protesté contre cette invitation, faite de manière unilatérale par Pieter de Crem, le ministre de la Défense, à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance de l’ancien Congo belge.
Inviter une armée accusée de viols, de pillages et d’exactions à rencontre des civils, ça va trop loin.
A déclaré Wouter De Vriendt, un écologiste flamand.
Le Vlaams Belang, parti d’extrême droite, a insisté sur les risques liés à une visite de militaires congolais, 16 officiers ayant profité d’un stage de formation en 2004 à Elsenborn pour disparaître en Belgique.
Le ministre de la Défense a démenti avoir invité un détachement des Forces armées congolaises (FAC) à défiler dans les rues de Bruxelles.
Une séance houleuse de questions ne s’en est pas moins tenue, mercredi au Parlement, certains députés citant les rapports accablants d’Amnesty International et de Human Rights Watch sur la RDC.
Yves Leterme, le Premier ministre belge, a clos la polémique, le jeudi, déclarant que l’invitation n’était pas à l’ordre du jour.
Du coup, Pieter de Crem, ministre connu pour ses gaffes, n’a pas confirmé sa présence à Kinshasa, le 30 juin, lors du cinquantenaire de l’indépendance congolaise.
En revanche, le roi, Albert II, sera bien de la fête.
Il aura fallu deux mois de tractations, au sein du gouvernement belge, pour trouver un consensus sur cette visite historique.
Le dernier déplacement royal à Kinshasa, fait par le roi Baudouin, remonte en effet à 1985.
En France, les armées de quatorze anciennes colonies africaines ont été invitées à défiler sur les Champs-Elysées, le 14 juillet, à l’occasion du même cinquantenaire des indépendances -un tournant historique qui ne paraît pas central dans ces célébrations.
Nicolas Sarkozy a en effet expliqué vouloir faire une « grande fête africaine », en hommage aux tirailleurs ayant combattu aux côtés de la France lors des deux guerres mondiales.
A Paris, le passif de certaines de ces armées, engagées dans des guerres civiles larvées ou appelées à réprimer des manifestations à l’occasion d’élections contestées, ne fait pas débat.
PS :On rappellera ici que Abdoulaye Yérodia s’est vu confier la clé du musée Lacan.
Ce musée Lacan, se trouve au 5 rue de Lille, 75007 Paris, France, à l’adresse où Lacan a pratiqué la Psychanalyse de 1945 au 9 septembre 1981.
Une plaque, apposée dans la rue à cette adresse le rappelle.
Je ne manque jamais une occasion d’y passer, pour saluer la mémoire de cet homme que j’ai tellement aimé et même encore aujourd’hui, et ce sera ainsi jusqu’à mon dernier souffle.
Connaissant bien ce lieu, j’ai plusieurs fois sonné à cette porte où, avec d’autres nous étions reçus si chaleureusement par cet homme si aimable.
Tellement même que j’y suis venu 3 fois par semaine, toujours aux mêmes heures pendant près de 11 ans.
Aujourd’hui je ne trouve que porte close
Comme tout musée, il est ouvert au public.
On peut le visiter sur demande seulement, ce qui en fait un musée assez étrange, puisque les clés de ce musée, Abdoulaye Yérodia en est le Gardien.
Lui-même étant résident permanent au Congo-Zaïre, je comprend qu’il ne puisse pas venir fait un saut à Paris à chaque fois que je viens sonner.
Patrick Valas. Le 24 mars 2010.
Pour des raisons de prudence, on me comprendra, j’ai mis ce site sous la protection de la Légion Étrangère.
Code d’honneur du légionnaire :
Article 1
Légionnaire, tu es un volontaire servant la France avec honneur et fidélité.
Article 2
Chaque légionnaire est ton frère d’arme quelle que soit sa nationalité, sa race, sa religion. Tu lui manifestes toujours la solidarité étroite qui doit unir les membres d’une même famille.
Article 3
Respectueux des traditions, attaché à tes chefs, la discipline et la camaraderie sont ta force, le courage et la loyauté tes vertus.
Article 4
Fier de ton état de légionnaire, tu le montres dans ta tenue toujours élégante, ton comportement toujours digne mais modeste, ton casernement toujours net.
Article 5
Soldat d’élite, tu t’entraînes avec rigueur, tu entretiens ton arme comme ton bien le plus précieux, tu as le souci constant de ta forme physique.
Article 6
La mission est sacrée, tu l’exécutes jusqu’au bout et si besoin, en opérations, au péril de ta vie.
Article 7
Au combat, tu agis sans passion et sans haine, tu respectes les ennemis vaincus, tu n’abandonnes jamais ni tes morts, ni tes blessés, ni tes armes.
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